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Ultimes prophéties

Avertissements d’Adam et Eve
- l’intelligence artificielle face à Dieu et la Création
- le retour du Roi

« Un jour, les prophéties disparaîtront, le don des langues cessera, la connaissance que nous avons de Dieu disparaîtra. En effet, notre connaissance est partielle, nos prophéties sont partielles. Quand viendra l’achèvement, ce qui est partiel disparaîtra.


Nous voyons actuellement une image obscure dans un miroir; ce jour-là, nous verrons face à face. Actuellement, ma connaissance est partielle; ce jour-là, je connaîtrai vraiment, comme Dieu m’a connu. Ce qui demeure aujourd’hui, c’est la foi, l’espérance et la charité; mais la plus grande des trois, c’est la charité ». Cor. 13

Pourquoi avons-nous décidé d’écrire cet avertissement ? Tout simplement suite à notre inquiétude. Pourquoi tout ce qui a été fondé disparaît ? Construction, bâtiments divers et témoignages religieux pourtant marqués du sceau du sacré ? Combien d’églises, de communautés religieuses pourtant visitées par l’Esprit Saint en leur temps s’éteignent-elles faute de vocations ? Arrivons-nous au sommet d’un temps comme au sommet d’une pyramide ? Ce sommet annoncerait-il un renouveau, une nouvelle construction à venir ?

Alors faisons mémoire d’une façon urgente pour comprendre ce que l’homme manipule aujourd’hui et pour retrouver ce que Dieu attend de nous.

 

Les Lois de Dieu face aux lois des hommes

 

« Ne faites pas de la Maison de mon Père, une maison de voleurs (de trafic) » Jn.2, 16

Division, tout ce qui veut imiter Dieu sème la division. Et notre temps ne ménage pas ses efforts pour distiller ses divers messages subliminaux.
 

Car au-delà des révolutions et des guerres, naissent toujours de nouveaux profits de plus en plus inhumains avec leurs lois iniques et contre nature. Toute évolution dans le sens de l’homme, entraîne la création de nouveaux systèmes : économiques, financiers, de pensée égalitaire sans référent défini. L’aboutissement et le but fixé portent le nom de : profit. Autrement dit, rendre à l’argent ce qui appartient à l’argent (et nous sommes loin de la phrase de Jésus-Christ : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ».)


Nous voici dont dans la notion du profit à tout prix, du placement bancaire, de la fructification des avoirs, qu’ils soient immobiliers, pharmaceutiques, philosophiques, agroalimentaires. Partout où Dieu avait placé des balises, l’homme les a bousculées. Toute forme originelle de cycles est aujourd’hui modifiée (climat, culture, soins médicaux, référent religieux …)
 

Pour le système de pensée actuelle que certaines zones de pouvoir veulent instaurer, il importe de troubler l’homme et de développer en lui la notion d’orgueil, le piège absolu. Par la destruction des habitats naturels, on ne reconnaît même plus l’odeur de sa terre natale (nos anciens reconnaissaient à l’odeur, le lieu de leur habitat). Destruction de la notion de silence (musique aux messages  cachés : rap, métal rock, techno,…). Perte de la notion d’image fixe (album de photos, icône) pour la remplacer par une accélération des images secondes (référence aux publicités, aux plans cinématographiques, à  l’information télévisuelle). Il faut à tout prix brouiller l’information pour le cerveau, créer des artéfacts et empêcher le ressourcement, même pour le temps de sommeil où aujourd’hui les P.C., les I Pad, les GSM restent allumés, en veilleuses et à proximité de la personne.
 

Il serait si simple de se rappeler le passage biblique chez Elie quand ce dernier recherchait Dieu dans des démonstrations fortes et « bruyantes ». Car Dieu lui parla dans le souffle, dans un zéphire. Comment voulez-vous dans ces conditions précitées que l’homme entende ce que l’Esprit Saint lui dicte !
 

Sans référents, l’homme se perd et il commence à errer à la porte du désert ou dans son désert. Il risque donc de rechercher des zones à risques ou des groupes identitaires falsifiés : drogue, alcool, médicaments, groupes musicaux, séries télévisuelles). Le serpent source du péché originel au sein du Jardin d’Eden est toujours en action d’une façon insidieuse. Il s’infiltre au travers des mots nouveaux, des nouveaux modes de pensée (par exemple la pensée unique). Les hommes d’aujourd’hui, errants du nouveau monde, s’accrocheront donc à la fausse bouée du moment que le nouveau système pense pour lui. Le silence de nos campagnes est terrible, plus de son de clochers à moyen terme, division au sein de l’Eglise, lois iniques de nos politiciens. L’homme d’aujourd’hui est prêt à tout accepter pour qu’on le laisse tranquille. Jusqu’à perdre la mémoire chrétienne de l’Europe. Ceci étant le but final des politiciens de ce temps.
 

Oui, le Christ nous avertit dans Jean 7, 20 : « Au lieu de juger sur l’apparence, jugez sur la justice ». Et craignez la justice de Dieu. N’a-t-il pas averti depuis Adam et Eve ? Leur désobéissance n’a-t-elle pas été jusqu’au meurtre d’Abel, prémices des meurtres fratricides futurs ? Aujourd’hui que font les frères hommes entre eux ?


Lors de son voyage à Rome, sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la sainte Face écrivait que Dieu jetait à profusion les beautés de la nature devant ses yeux et pour garnir son cœur. Mais elle citait également Dieu dans le passage du Psaume C III, 32 : « Qui regarde la terre et le fait trembler, Qui touche les montagnes et les réduit en fumée. »
 

Oui, création et anéantissement se rejoignent toujours. C’est pourquoi ne regardons pas la Création uniquement dans sa forme : herbes, plantes, animaux, poissons qui en constituent un élément. Dans la Genèse, nous lisons que l’homme a été créé après toutes les créatures vivantes sur terre. Il en est donc responsable en plusieurs points et surtout, au-delà de la position écologique bien trop simpliste.
 

Tout ce qui est créé, une fois exclu du plan de Dieu, devient un non-sens et se détruit de par lui-même.

Conséquence 
Avertissements d’Adam et d’Eve

 

Dieu est de toute éternité et le Christ nous dit : « En vérité », en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, Je Suis. »

Ne pas tuer la mémoire !

L’homme d’aujourd’hui entretient ou désire un nouveau meurtre d’Abel

Oui, Adam et Eve ont des choses à nous dire. A commencer, réveillez-vous hommes et femmes de ce temps. Comment en êtes-vous arrivés là ! Quelle tristesse de voir comment vous avez sali la création et le nom de Dieu.

Qu’avez-vous fait de la pureté de la terre ? Qu’avez-vous fait du respect des animaux qui vous été confiés, sans parler des arbres et des rivières. Les montagnes crient leur souffrance, les abîmes se creusent, les sillons de la terre ne sont plus prêts à être ensemencés mais à vous montrer leur aridité. Une aridité qui envahit le cœur de l’homme. Même l’arc en ciel le lien merveilleux établi entre Dieu et sa création est détourné de sa symbolique première. Le cordon ombilical qui reliait l’homme au Jardin d’Eden a perdu son sens. A quoi désormais sommes-nous reliés ? Le sens même de la gestation est sali. Tout comme celui de la famille. Comment en êtes-vous arrivés à permettre que les enfants n’appartiennent plus à personne, à perdre le sens du noyau familial ? Voyez tous ces enfants qui naissent n’importe comment et qui vous interpellent en vous posant la question : qui suis-je ? Où est mon identité première celle pour laquelle un Dieu m’a créé ? Comprenez-vous qu’ils sont les nouveaux saints innocents de notre temps ?

Comment en êtes-vous arrivés à tout détruire, tout détricoter en si peu d’ années quand des générations entières avant vous avaient élaboré une société faites de points de repères. Votre planète est exsangue, polluée, stérilisée, et peut-être allez-vous l’atomiser !

Mais ne vous trompez pas car cette dernière reprendra toujours ses droits car elle est de toute éternité la création de Dieu dont Il vous en avait donné la garde. Comment en êtes-vous arrivés à ne plus retrouver votre chemin, à ne vivre que de chimères, d’illusions, de plaisirs éphémères, d’inventions baignées dans le profit financier, la haine et la libre pensée. Vous activez d’une façon désespérée tous les processus d’évolution, musique, publicité, consommation de toute sorte, images du miroir de la mort ! Comme au temps du Christ, vous tuez les prophètes, la mémoire de ceux qui vous ont précédés. Et je vous pose la question : remplacer cette mémoire par quoi ? L’homme n’est pas une création de l’homme !

 

Alors avant de vous suicider définitivement relisez ce texte du Deutéronome : « Je prends aujourd’hui à témoin, contre vous le Ciel et la terre : je te propose la vie ou la mort, la Bénédiction ou la Malédiction. » Dt 30, 19

 

Quel questionnement vous embarrasse-t-il actuellement ?

Adam et Ève pouvaient s’entretenir directement avec Dieu dans le moment de leur création parce qu’ils étaient purs et ce qui est pur peut s’entretenir avec ce qui pur. Mais ils ne comprirent pas l’importance de l’enjeu. Il s’agissait d’un contrat divin, d’une filiation divine authentique. Et si quelque chose changea dans leur positionnement d’êtres créés, c’est qu’ils ont douté de quelque chose. Quelque chose s’est glissé en eux à leur insu. Mais comme le fit plus tard Ulysse, ils ne purent se faire attacher au mât de l’arbre de la connaissance ni se faire placer de la cire dans les oreilles afin d’échapper au murmure (mot clé de notre époque).

« Car Dieu a créé l’homme à son image, au début de la Création à son Image Il les a créés. »

Et quand l’arbre de la connaissance trouble Adam et Eve dans sa nouveauté (étaient-ils déjà lassés de ce qu’ils vivaient ? Pensons à notre ennui existentiel, celui de notre époque), qu’advint-il ? Dieu les couvrit d’une peau. Une  enveloppe qui allait, comme un sac, renfermer la révélation même du Verbe Divin. Dans un premier temps peut-être car cette cuirasse allait très vite les placer dans un vécu bien éloigné de sa fonction initiale. Comme agissent les hommes d’aujourd’hui, Adam et Eve allaient passer par le stage de la séduction, du regard posé sur la nudité nouvelle qu’ils découvraient par le fait que la forme du corps créé originellement leur apparaissait soudainement différente. Une nouvelle définition de la forme se construisait, une définition élaborée cette fois par eux-mêmes et hors du langage de Dieu. Ils entamaient le discours parlé de l’homme et de la femme. Des mots nouveaux sortaient de leur bouche, des vocables identitaires nouveaux. Comme nous le pratiquons aujourd’hui, il fallait paraître, séduire, bref oublier ce à quoi la peau originelle correspond. Et la culpabilité qui naît du doute et de l’emploi de nouveaux mots, nous éloigne de la fonction messagère divine pour donner naissance à la mémoire de culpabilité, celle du péché originel.

Car nos sens ont été détournés de leur fonction première. Nos sens se sont pervertis dans les châteaux de la séduction. Vue, goût, voix, contact physique. Avec un seul mot d’ordre : toujours paraître pour en arriver à ne plus savoir qui nous sommes.

Le nouveau langage de l’expression s’évertue ainsi à pervertir le langage humain pour que l’intelligence humaine soit exposée aux erreurs d’interprétation. Jusqu’à la perte de la notion de la symbolique des mots. Une preuve gravissime de plus pour montrer que tout est fait autour de nous pour nous amener à perdre la transmission de la Révélation Divine. (rappel : le symbole est un signe de reconnaissance conventionnel pour désigner quelque chose)

Bien sûr, cette évolution du stade d’Adam et d’Eve vers notre époque n’a fait que se détériorer dans le sens de l’inversion de la notion de création elle-même. Et nous touchons ici la notion de destruction de la mémoire générale voire historique mais surtout la destruction de la mémoire originelle.

Qui s’intéresse encore aujourd’hui à la transmission de la Religion du Verbe ?

Cette mémoire qui s’effiloche est pourtant bien la mémoire universelle de la nature humaine. Et que désire le système actuel ?
 

  1. Provoquer un changement de mémoire

  2. Provoquer l’oubli par détournement (sens des mots, symbolique des mots)

  3. Détruire les conditions du souvenir et de la conscience. Or la mémoire archétype qui vient de la Création ne peut être détruite. Auquel cas elle amène à la mort de l’homme.

S’il vous plait, chers lecteurs, réveillez-vous car la mémoire génétique de la nature humaine est à l’image de Dieu alors que la séduction dans notre monde est une arme de désintégration de la Foi.

Et ce changement de mémoire, auquel nous assistons en vue d’éclipser la mémoire originelle, s’opère en vagues successives, presque à notre insu : changement de la dénomination de nos lieux géographiques, modification des dates dans les calendriers, modification des rythmes musicaux, désacralisation des lieux sacrés, perte du sens du Dimanche, …) Toutes ces pertes de repères entraînent l’homme vers la fatigue, à la perte identitaire, à la chute de l’immunité physique, au burnout, aux cancers, à toutes les formes de maladies du monde moderne.

Il n’y a plus de possibilités de faire mémoire du cordon ombilical censé nous relier au Jardin d’Eden, le lieu de notre création.

Conclusion :

De l’arbre de vie à l’arbre de mort

>

Pour une mort programmée de la Mémoire sacrée ? 

« Car en Sion tout homme est né ! L’arbre de vie qui était gardé par un chérubin au glaive de feu, voici qu’il habite en Marie, la Vierge pure ; Joseph le garde. Le chérubin a déposé son glaive, car le fruit qu’il gardait a été envoyé du haut du Ciel jusqu’à l’abîme des proscrits. » (sermon de saint Ephrem)

La Création

α

Le VERBE   les EAUX   le FIRMAMENT   Le ROCHER

Car le Christ a dit : « Qui n’est pas avec moi est contre moi. »

 

Pour la version de la Genèse, nous prendrons celle du Chanoine Crampon

(Nous ne considérerons que les dix premiers versets de la Genèse qui nous intéresse pour l’analyse de ce que nous devons comprendre pour notre temps. En effet, Dieu créa les formes dans un premier temps avant l’homme et la femme. Car comment nommer les formes avant qu’elles existent ! Il en est de même pour le stade de la Création d’Adam et de Eve, de forme sacrée qu’ils étaient au départ, ils ne pouvaient par la suite se définir en sexe différencié que vêtus de l’aspect peau avec la dérive dont nous avons parlé plus haut.)

« 1 Au commencement Dieu créa le ciel et la terre. 2 La terre était informe et vide ; les ténèbres couvraient l’abîme, et l’Esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. 3 Dieu dit : « Que la lumière soit ! Et la lumière fut. 4 Et Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière et les ténèbres. 5 Dieu appela la lumière jour, et les ténèbres nuit. Et il y eut un soir, et il y eut un matin ; ce fut le premier jour. 6 Dieu dit : « Qu’il y ait un firmament entre les eaux, et qu’il sépare les eaux d’avec les eaux. 7 Et Dieu fit le firmament, et il sépara les eaux qui sont au-dessous du firmament d’avec les eaux qui sont au-dessus du firmament. Et cela fut ainsi. 8 Dieu appela le firmament Ciel. Et il y eut un soir et il y eut un matin ; ce fut le second jour. 9 Dieu dit : « Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. « Et cela fut ainsi. 10 Dieu appela le sec Terre, et il appela mer l’amas des eaux. Et Dieu vit que cela était bon. »

Dieu planait, Il se mouvait au-dessus des eaux et Il appela la lumière puis le firmament et il sépara les eaux en au-dessus et en au-dessous et le firmament les sépara. Un firmament qui devint comme un voile. Un voile entre deux mondes ! Celui du visible et celui de l’invisible ! Et avant cette séparation, Dieu se mouvait au-dessus des eaux de la création (de la gestation divine) comme s’il se voyait dans un miroir, Son miroir Sacré. Et notre terre, nos futurs rochers vinrent d’un côté du miroir, parmi les eaux du dessous.

Car faut-il rappeler que le Paradis n’a pas été fait pour l’homme mais pour que l’homme aime Dieu !

Dieu pose ainsi dès le commencement, la notion de choix et de liberté. A l’homme de choisir et donc de faire mémoire.

 

Le Verbe

Prologue de saint Jean :

« Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement en Dieu. Tout par lui a été fait, et sans lui n’a été fait rien de ce qui existe. »

 

Le mot « verbe » possède en lui la racine du mot latin « esse » : être. Le verbe est donc ce qui fait qu’un être est ce qu’il est ; ce qui constitue sa nature : à savoir ici : l’essence divine.

Et quand Dieu parle par le souffle, le « être » crée une harmonique au-dessus des eaux. Ce souffle de l’être, crée une vibration qui vient faire onduler la surface des eaux, le liquide matriciel. Ainsi l’eau reçoit une fréquence liée à la force ou à la qualité du souffle pour définir une forme. Nous pensons ici à une diffusion ondulatoire de la création divine ce qui fait que quand les eaux se retireront pour laisser apparaître la terre ou le rocher, ces derniers garderont une mémoire originelle du souffle de l’être.

 L’assemblage du souffle, de l’eau et de la lumière va activer le processus même de la vie. Et quand les eaux se sépareront en eaux du dessus et en eaux du dessous, on réalisera que le Créateur pense au visible (la Jérusalem terrestre) et à l’invisible (la Jérusalem Céleste).

« Bienheureux le peuple dont le Seigneur a fait son patrimoine. Par la Parole du Seigneur, les Cieux furent établis, par le souffle de sa bouche toute leur armée. »

Concepts créateurs

  1. Le Verbe : Il est essence en soi, feu et vibration à la fois.

  2. Il plane sur les eaux : il crée la notion de reflet. Et le feu avec l’eau témoigne de la nuée (ce qui dissimule pour mieux révéler).

  3. Il sépare les eaux : Il s’agit d’une division bien ordonnée. Il annonce la notion de miroir, « ce qui est en haut est comme ce qui en dessous » comme l’écrit saint Paul. Et cette notion de division annonce les concepts de visible et d’invisible.

  4. Les eaux d’en bas se retirent et laisse apparaître la terre ou le rocher : En haut nous voyons la constante de Dieu. En bas nous voyons la liberté de Dieu dans Sa Création.  Il fait émerger du visible sous son contrôle.

  5. Le firmament au-dessus des eaux supérieures : Dieu nous montre la grandeur de son organisation dans la multiplication de son essence divine.

  6. Le pyramidal : l’évolution du firmament nous montre un faîte pour le Verbe et une diversification de la construction du firmament sous Lui (étoiles, sources d’énergie, lumières,…). Nous sommes ici face à une construction de type pyramidale (« Il y a plusieurs demeures dans la Maison de mon Père », dit le Christ). Et à chaque étage du pyramidal, correspond une fonction différentiée (organisation Archanges, Anges, …)

Cette construction du monde invisible nous la retrouverons dans le monde visible au travers de la pyramide de Chéops (exemple parfait d’une construction humaine inspirée par Dieu).

À toute construction il faut un maître d’œuvre et un architecte. Et comme Dieu est maître de l’Histoire et de l’Univers il est maître de la gestion des mathématiques, de la géométrie, de la physique. Dans le firmament Dieu pose une pyramide parfaite à son image. Sur terre la pyramide de Chéops traversera les âges à l’image des hommes (reflet visible du Créateur sur la terre.)

Nous ne voulons pas surfer sur la mode et les raccourcis concernant cette pyramide de Chéops. Mais Dieu donne peut-être à travers cette construction un repère, une architecture visible et lisible, un signal pour la conversion des hommes, voire un avertissement, voire une mémoire, voire un avenir. Une construction parfaite selon les normes physique, mathématique et géométrique. Bref dans la perfection même de Dieu.

Ainsi, la Genèse de la Création devient terrestre par la symbolique du Jardin d’Eden image d’un placenta futur. Et ainsi, en chaque partie de la création formelle voulue par Dieu par le monde des formes, se déposera une part d’essence définie.

C’est pourquoi, depuis Adam et Eve, se transmet une harmonique (le souffle du Verbe) correspondante à chaque forme créée. A chaque forme son harmonique donc une reconnaissance et une attribution liée à un phonème. Ce sera la construction du langage articulé fait de mots attribués et différenciés.

Et le corps humain avec toute sa perfection devient ainsi le reflet de toute cette création harmonique. L’ensemble des fonctions du corps et de ses fonctions organiques étant en lien avec une harmonisation du souffle, de l’énergie créatrice et donc du verbe. Tout artéfact de lecture et de mauvaises compréhensions voire de refus de ces fonctions créatrices originelles, pourront à tout moment de choix existentiel, amener dans le corps de l’homme ou la femme le principe du « tomber malade ».

En résumé 

Les sept points relevés dans l’acte de la Création par le Verbe représentent pour nous humains l’organisation des cinq sens(Ge.1) Rappelons la synonymie entre essence et matière. La matière étant la substance capable d’agir sur les sens.

  1. L’essence même de Dieu : L’esprit agit pour le plan de la lumière (fécondation dans la matrice pour la vie, le mouvement, l’action)

  2. Dieu dit : la parole qui éclaire (la lumière, le langage)

  3. Dieu vit : ce qui est bon (la vue)

  4. Dieu sentit : reconnaître les différences (la dynamique du choix)

  5. Dieu fit : conformité à l’acte de la création

  6. Dieu nomma : le mot donné devient la parole qui guérit (l’identité)

  7. Dieu bénit : prolongement de ce qui est en nous (l’essence de vie) vers les autres (l’amour et la communication)

« Dieu a tout fait avec mesure, avec nombre et avec poids ; rien n'excède, rien ne manque. » (Bossuet)

 

Les Eaux

A sa conception, l’homme baigne dans les eaux matricielles. Le fœtus présente la forme d’un germe et il est dès le départ déterminé par le Nom qui par le cordon ombilical le relie à Dieu par le placenta nourricier.

Comment en douter quand on sait que le cordon ombilical est constitué de cellules souches à la base de toutes organisations cellulaires et organiques.

L’eau règne à tous les stades de la Création puisque dès le début de la Genèse elle se trouve présente : « Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Or la terre était vague et vide, les ténèbres couvraient l’abîme, l’esprit de Dieu planait sur les eaux. » Gen.1

Et la forme de Dieu, existant de toute éternité, était constituée d’éléments inconstitués car Dieu s’y mouvait dans son essence qui fait de Lui ce qu’Il est. Rappelons que le synonyme du mot « essence » est « matière », toute substance capable d’agir sur les sens. Dans son informalité, Dieu Est, dès l’origine, constitué de chaque micro particule, de chaque microsome, de chaque atome de sa Création passée, présente et future. (voir le chapitre sur l’énergie divine)

Dans Nombres 20:8-12 le Seigneur s’adresse à  Moïse disant : « Prends le bâton et assemble la communauté, toi et ton frère Aaron. Vous parlerez sous leurs yeux au rocher, et il donnera ses eaux ; tu feras sortir pour eux de l'eau du rocher et tu abreuveras la communauté et le bétail... »

Les eaux dans l’histoire des hommes s’inscrivent sur plusieurs plans : les eaux de Mériba abreuvant le peuple Hébreu, les eaux de la Mer Rouge, les eaux matricielles pour la gestation, les eaux du baptême et particulièrement celles du Jourdain. Il y a les eaux guérissantes (Siloé, la Samaritaine, …). Et plus près de nous les sources témoins de tant d’apparitions Mariales.

L’eau sert à laver, à boire, à nettoyer, à sauver. Elle constitue à 65 % en moyenne le corps humain. Elle couvre à 70% la surface de la terre.

Il y a tant d’exemples à donner pour en montrer sa valeur.

Et quand Dieu visite la terre, il la féconde par la rosée pour la faire fructifier, la bénir, l’ensemencer, la purifier : « C’est comme la rosée de l’Hermon qui descend sur les montagnes de Sion. Car c’est là que l’Eternel envoie la bénédiction, la vie pour l’éternité. » Ps. 133,3

Ainsi l’eau présente une fonction dynamique, elle tombe en pluie, remonte en nuée ou nuages et revient en pluie.

Elle abreuve la terre mas aussi le cœur de l’homme pour son temple intérieur :

 

« Au cours d'une vision reçue du Seigneur, l'homme qui me guidait me fit revenir à l'entrée du Temple, et voici: sous le seuil du Temple, de l'eau jaillissait en direction de l'orient, puisque la façade du Temple était du côté de l'orient. L'eau descendait du côté droit de la façade du Temple, et passait au sud de l'autel. L'homme me fit sortir par la porte du nord et me fit faire le tour par l'extérieur, jusqu'à la porte qui regarde vers l'orient, et là encore l'eau coulait du côté droit. L'homme s'éloigna vers l'orient, un cordeau à la main, et il mesura une distance de mille coudées; alors il me fit traverser l'eau: j'en avais jusqu'aux chevilles. Il mesura encore mille coudées et me fit traverser l'eau: j'en avais jusqu'aux genoux. Il mesura encore mille coudées et me fit traverser: j'en avais jusqu'aux reins. Il en mesura encore mille: c'était un torrent que je ne pouvais traverser, car l'eau avait grossi, il aurait fallu nager: c'était un fleuve infranchissable. Alors il me dit: «As-tu vu, fils d'homme?» Il m'emmena, puis il me ramena au bord du torrent. Et, au retour, voici qu'il y avait au bord du torrent, de chaque côté, des arbres en grand nombre. Il me dit: «Cette eau coule vers la région de l'orient, elle descend dans la vallée du Jourdain, et se déverse dans la mer Morte, dont elle assainit les eaux. En tout lieu où parviendra le torrent, tous les animaux pourront vivre et foisonner. Le poisson sera très abondant, car cette eau assainit tout ce qu'elle pénètre, et la vie apparaît en tout lieu où arrive le torrent. Au bord du torrent, sur les deux rives, toutes sortes d'arbres fruitiers pousseront; leur feuillage ne se flétrira pas et leurs fruits ne manqueront pas. Chaque mois ils porteront des fruits nouveaux, car cette eau vient du sanctuaire. Les fruits seront une nourriture, et les feuilles un remède.» Ézékiel 47, 1-9. 12

 

 

Il nous reste à contempler le mystère de l’incarnation du Verbe en la Vierge Marie, reflet parfait de l’essence divine originelle. Dieu en son sein se fit petit enfant. Merci Vierge Marie, fille de Dieu le Père, épouse de l’esprit, Mère de Dieu le Fils.

Alma Redemptoris : « Marie porte du Ciel, Étoile de la Mer »

La pierre

« Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur ce roc je bâtirai mon Eglise, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle » Mt. 16, 19

Toute la symbolique des Œuvres de Dieu se retrouve dans le passage des Tables de la Loi données à Moïse au Mont Sinaï.

Tables écrites de la main de Dieu, brisées au sol au retour de Moïse dans la vallée pour devenir tables vivantes et donc écriture vivante issue du doigt de Dieu. Ainsi les morceaux des tables brisées deviennent pierres vivantes. Quel mystère ! Quelle préfiguration de la venue du Christ et des Apôtres, les quatre Evangélistes, les quatre Vivants, pierres de soutènement de la Parole vivante au sein des Evangiles.

Car le Christ, est le Rocher qui nous sauve.

« Voici que je mets en Sion, une pierre d’achoppement et un rocher de scandale, et celui qui croit en lui ne sera pas confondu. » (Rm. 9, 33)

Car à la Résurrection le Christ annonce qu’il reconstruira le temple (de pierre) en trois jours (son Eglise) : « Vous êtes le temple de l’Esprit Saint ». Et en cette déclaration nous devons comprendre que nous sommes appelée à devenir le temple de l’Esprit Saint en opposition à l’image du désert et de la poussière ou du rocher, image du visible architectural.

Et vous Vierge Marie, épouse de l’Esprit, vous êtes en Sion la pierre absolue, la pierre vivante  par excellence.

« Le tabernacle que Moïse bâtit sur le Mont Sinaï et où il plaça les tables de la Loi était la figure de Marie qui demeura Vierge tandis qu’elle portait en son sein l’auteur de la Loi.» (sermon de saint Ephrem)

Car en Sion, tout homme est né. En Sion est le nom de la Vierge Marie. Sion Rocher de la Vie de Dieu par excellence et par perfection. Et en conséquence de cette acceptation, Sion en la Vierge Marie devient la pierre vivante. Car comprendre et accepter cette formulation sacrée renvoie à un passage d’André Gide quand il écrivait : « Plus je m’approche du sommet de la montagne, plus le sommet s’éloigne ». Serait-ce le propre de l’homme d’aujourd’hui !!

« Ô Immaculée Vierge Mère, Splendeur Immortelle des béatitudes de Dieu, Lumière et Sagesse des pierres vivantes de Dieu. Ô Arche et refuge des pêcheurs que je devienne comme vous un foyer brûlant d’amour.

Oui, moi …, je m’offre sans réserve, comme petite brique pour construire votre Jérusalem Céleste. Ô arche apocalyptique, Marie Notre Mère, Secours des Chrétiens, priez pour nous. Amen. »

 

 

L’énergie divine

 

Force, puissance d’action et force d’âme.

Il est important pour comprendre cette partie sur l’énergie divine de relire les deux extraits qui suivent :

Rappelons le Prologue de saint Jean :

  1. Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu.

  2. Il était au commencement en Dieu.

  3. Tout par lui a été fait, et sans lui n’a été fait rien de ce qui existe.

  4. En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes,

  5. Et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue.

  6. Il y eut un homme, envoyé de Dieu ; son nom était Jean.

  7. Celui-ci vint en témoignage, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous crussent par lui :

  8. Non que celui-ci fût la lumière, mais il avait à rendre témoignage à la lumière.

  9. La lumière, la vraie, celle qui éclaire tout homme, venait dans le monde.

  10. Il (le Verbe) était dans le monde, et le monde par lui a été fait, et le monde ne l’a pas connu.

  11. Et le Verbe s’est fait chair, et il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, gloire comme celle qu’un fils unique tient de son Père tout plein de grâce et de vérité.

 

Rappelons le début de la Genèse :

1 Au commencement Dieu créa le ciel et la terre. 2 La terre était informe et vide ; les ténèbres couvraient l’abîme, et l’Esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. 3 Dieu dit : « Que la lumière soit ! Et la lumière fut. 4 Et Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière et les ténèbres. 5 Dieu appela la lumière jour, et les ténèbres nuit. Et il y eut un soir, et il y eut un matin ; ce fut le premier jour. 6 Dieu dit : « Qu’il y ait un firmament entre les eaux, et qu’il sépare les eaux d’avec les eaux. »  7 Et Dieu fit le firmament, et il sépara les eaux qui sont au-dessous du firmament d’avec les eaux qui sont au-dessus du firmament. Et cela fut ainsi. 8 Dieu appela le firmament Ciel. Et il y eut un soir et il y eut un matin ; ce fut le second jour. 9 Dieu dit : « Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. » Et cela fut ainsi. 10 Dieu appela le sec Terre, et il appela Mer l’amas des eaux. Et Dieu vit que cela était bon.

Notre raisonnement portera donc sur la répétition des mots « lumière » et « firmament ».

Lumière : Forme d’énergie, vibrations de certaines ondes transmises à travers l’éther, lui-même fluide considéré comme le milieu de propagation des ondes lumineuses et électromagnétiques.

Firmament : voûte circulaireappelée communément voûte céleste, qui environne la terre et à laquelle les astres semblent attachés.

Le mystère à élucider se trouve dans les textes sacrés.

 

En voici trois exemples :

  1. « Les Cieux racontent la Gloire de Dieu, le firmament proclame l’ouvrage de ses mains ». Introït de Carême.
     

  2. « Les abîmes n’étaient point encore et déjà j’étais enfantée; lorsqu’il préparait les cieux, j’étais présente et je réglais toute chose avec lui.» Ps.5O La Sagesse. Saint Grignon de Montfort.
     

  3. « Marie entra chez Zacharie et salua Elisabeth. Or, dès qu’Elisabeth eut entendu la salutation de Marie, l’enfant tressaillit dans son sein et Elisabeth fut remplie de l’Esprit Saint. » Lc. 1, 40-41.

Nous voici dans la première manifestation de l’invisible sacré par l’action en gestation du Christ dans le sein de la Vierge Marie s’adressant à l’invisible sacré de saint Jean Baptiste dans le sein d’Elisabeth. Une communication qui ne peut exister qu’en Dieu et par Dieu et par sa création divine qui nous échappe encore ou que nous ne voulons pas voir ou comprendre. Notre choix est là.

Hommes de peu de foi, ne craignez pas d’apprendre que vous êtes nés de la lumière. Comme cela est étrange d’avoir oublié tant de choses, alors qu’en leur temps, Adam et d’Eve conversaient avec Dieu.

Et nous ? Où en sommes-nous aujourd’hui ?

Dieu a-t-Il créé internet ? Combien de personnes ne vivent-elles pas avec internet dans la poche, combien de personnes n’existent-t-elles pas à travers Face-book, à travers un inter face fictif, artificiel.

Et maintenant ? L’intelligence artificielle va-elle proclamer un nouvel homme ? Quel rappel dans la Genèse : « Tout le monde se servait d’une même langue et des mêmes mots ». (Babel : Ge 11 1) Rappelez-vous ce qui est arrivé !

Que l’homme n’oublie jamais qu’il est programmé dans l’amour et que le propre de l’amour est de s’abaisser, de tuer l’orgueil.

 

Et aujourd’hui ? La toile internet et l’intelligence artificielle

Comment reconnaître un message du Ciel ? Toute cette toile n’est-elle pas pensée comme un mur de séparation entre Dieu et nous ? N’existe-t-il pas une programmation de l’homme à l’encontre de Dieu qui serait d’établir comme une gangue faite de satellites, une toile internet à l’image d’un dôme dressé autour de la terre pour interférer sur les visites de Dieu et par là-même enfermer l’homme dans une gangue plus individuelle (repli sur soi, dépression, suicide, tomber malade) ?

Ce repli de l’homme sur lui-même l’exclurait de toutes les possibilités créatrices au sein de l’espérance. L’homme se retrouverait avoir faim de tout sauf de l’essentiel.

Car le fait de vivre dans le virtuel n’amène pas dans la réalité. Ce qui est virtuel est seulement en puissance, en force, mais sans effet actuel présent.

La société actuelle créerait-elle un monde imaginaire sans fondement, celui de la virtualité sans notion d’exister ? Et l’homme se demande pourquoi il perd le sommeil, en quoi se repose-t-il ? Avec le portable à la main, les systèmes médias branchés en permanence, le cerveau se perd et ne reconnaît plus les bonnes fréquences. Même un PC demande à être rebouter. Que dire du cerveau qui ne peut plus se reposer, se rafraîchir. Les songes et les rêves font pourtant partie des visites de l’invisible chez l’homme. Le sait-il encore ? En profite-t-il ?

Faut-il donner un exemple à ce qui vient d’être écrit ? Un bien grand mystère quand, à la Résurrection, saint Marie Madeleine se penche pour toucher le Christ en Gloire. Mais Jésus lui dit : « Ne m’approche pas car je ne suis pas encore monté auprès de mon Père ». On comprend ici la signification de l’énergie sacrée par rapport  au désir humain. Car le corps ressuscité n’est pas touchable tant qu’il n’est pas retourné au Père. La transmutation de l’incarnation vers le sacré : tout est là. Il reste un pas à franchir pour notre raisonnement pour comprendre comment l’inverse est possible, ce pourquoi et comment nous sommes là. Dieu peut toucher l’homme mais pas l’inverse ! Le tangible et l’invisible ne sont pas de la même force. L’un appartient à l’incarnation, l’autre au sacré.

 

Petite introduction

Pour aborder notre paragraphe sur l’énergie divine imaginons le fonctionnement : émetteur-récepteur.

  1. La vision de l’homme : Soit l’émetteur : internet, satellites, batteries. Soit le récepteur : le portable, le GSM, l’I Pad, les systèmes médias.

  2. La vision de Dieu : Soit l’émetteur : le faisceau fécondant, l’essence divine, l’énergie créatrice. Soit le récepteur : le cœur, l’âme, la foi, la charité, l’amour.

Dans la Genèse comme dans le Prologue de saint Jean, Lumière et firmament sont très présents. Faisons un peu de physique.

L’électron : il s’agit d’un corpuscule électrique négatif qui entre dans la constitution externe de l’atome. Et cet électron qui naît de la rencontre de deux photons de lumière utilise l’énergie de ces deux photons pour se créer (les photons composant le gaz lumière enfermé dans l’électron).

La physique moderne nous dit que cette lumière des photons est spontanément disponible  dans l’électron (c’est la lumière nouménale, ou l’objet en soi). Les chercheurs se rendirent compte que les propriétés de cette lumière nouménale jouaient un rôle important dans ce qu’on appelle le « psychisme ». Le monde serait ainsi fait d’une substance psychique que des bio-physiciens appellent même : le verbe. L’électron devient ainsi la particule porteuse d’Esprit dans l’univers.

A côté de la notion physique de l’électron, les chercheurs donnent une valeur nominative au côté psychique de l’électron : l’eon. Une lumière nouménale qui est capable de mémoriser sans connaître l’oubli. Les physiciens se rendirent compte que les éons étaient capables d’organiser entre eux tous les éléments mémorisés.

On comprend que la religion n’est pas philosophiquement très loin car il est connu que ce qui est porteur de l’Esprit est en lien avec la lumière. De plus, les échanges d’informations entre éons sont possibles. La lumière parlant à la lumière.

Cela nous fait penser philosophiquement à l’amour.  « Ainsi l’aventure de l’Univers sur le plan spirituel est l’aventure des éons, ces petits êtres éternels né de la lumière du commencement des temps et qui deviennent chaque jour de plus en plus « psychiques » à travers leurs expériences vécues et l’exercice de leurs quatre propriétés psychiques : la connaissance, la réflexion, l’amour et l’acte. » ( J.E. Charon).

On comprend très vite que toute cette organisation possède un référent unique et universel. Un rappel de la pyramide au sommet de laquelle on trouve Dieu de toute origine, de toute organisation et de toute création. Dieu créateur est ainsi proportionnel à la Lumière créée (voir la Genèse). Le firmament correspondant à la structure éonique globale depuis l’origine et possédant sa mémoire groupale intégrée avec ses hiérarchies d’expériences (Cour Céleste, Patriarches, Prophètes, Anges,… Et quand dans la Genèse nous lisons que le firmament se reflète dans les eaux d’origine, on peut comprendre que Dieu crée le miroir de la création pour les eaux du dessous.

Oui Dieu est au sommet de la création. « Car un couple d’électrons prend naissance à partir de particules sans masse voyageant à la vitesse de la lumière que sont les photons. Et ces photons eux-mêmes sont les constituants de la lumière. La lumière a donc, suivant ce raisonnement donné, naissance à l’Esprit. » (J.E.Charon).

Nous retrouvons le texte de la Genèse : « Les ténèbres couvraient l’abîme et l’Esprit de Dieu planait. Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne et il sépara la lumière des ténèbres. » Oui Dieu « dit » car le verbe est l’esprit dans toute sa puissance. Tout l’univers est donc crée par le Verbe. C’est pourquoi Dieu est le Principe même d’éternité ou le Verbe Eternel. Et c’est ici que nous plaçons notre espérance, devant cette éternité de Dieu.

À nous créatures d’évoluer d’un esprit primaire à secondaire jusqu’au parfait incarné. Puisque les éons évoluent en permanence vers plus de perfections liées à leurs communications exponentielles, nous devrions évoluer normativement vers un monde plus conscient sans oublier que notre corps a été tiré du limon de la terre et qu’il y retournera. Seul l’Esprit demeure !

Comment ne pas oublier ?

Il y a l’amour à notre portée, la charité à notre portée, le pardon à notre portée, la prière à notre portée, les Sacrements à notre portée, l’Eucharistie à notre portée.

Il y a des référents concrets incarnés en leur temps et porteurs de la mémoire du Verbe. Nous pensons aux Prophètes, aux Patriarches, aux Evangélistes, aux saints. Tant pis si ces modèles ne parlent pas un langage culturel adapté à notre époque. Non, ils sont des témoins, des phares, des rochers vivants de la Parole Vivante.

« Ne changer pas un iota à la Lettre » a écrit saint Paul !

Ce n’est pas au Christ à s’adapter à nous mais, à nous, de faire mémoire de Lui.

Ainsi, nous-mêmes, à partir du moment où nous acceptons d’être porteurs de mémoires, de verbe et de lumière, nous faisons appel à nos éons originels.

Car chaque homme, chaque femme, est porteur du principe d’éternité.

En conclusion, il nous est possible dans notre libre choix, de modifier nos paramètres, de rééquilibrer nos fréquences, de rafraîchir nos programmes d’incarnés.  Si Adam et Eve sont nos lointains parents tirés de la terre, nous le sommes à leur image puisque nous sommes appelés à retourner en poussière. Mais notre héritage à partir du don de Dieu par Adam et par Eve est la vie en enfants du Père dans son essence et dans sa mémoire sacrée.

 

Prière à l’Esprit Saint

Viens Esprit Créateur,
Visite l'âme de tes fidèles,
Et remplis de la grâce d'en-haut
Les coeurs que tu as toi-même créés !

Toi qu'on nomme le Consolateur,
Le Don du Dieu Très-Haut,
La source vivante, le Feu, la Charité,
L'Onction spirituelle.

Tu es l'Esprit aux sept dons,
Le doigt de la main du Père,
Son authentique promesse,
Celui qui enrichit toute prière.

Fais briller en nous ta lumière,
Répands l'amour dans nos coeurs,
Soutiens la faiblesse de nos corps
Par ton éternelle énergie !

Repousse au loin l'Ennemi,
Donne-nous la paix qui dure ;
Que sous ta prévenante conduite,
Nous évitions tout mal et toute erreur !

Fais-nous connaître le Père,
Révèle-nous aussi le Fils,
Et toi, le commun Esprit,
Fais-nous toujours croire en toi ! Amen. 

 

Le retour du Roi

Il ne se fera que dans le secret des cœurs. Et pourtant il est visible pour certains, porteur d’une coupe en forme de Croix debout
au-devant d’une armée au repos. Il s’avance vers l’autel de la célébration de forme ronde (notre monde) et en pierre.
Dernière forme avant la transmutation du rond en carré (base de la pyramide) annonçant la Jérusalem Céleste.

 

Pensons à Melchisédech

 

Nous pouvons nous adresser à cette image précise du Prêtre idéal.

Voici un modèle formel et très concret, une nomination compréhensible même si ce nom semble éloigné de nous et plus encore dans son mystère. Se pourrait-il que Melchisédech soit début et finalité à la fois de notre chemin de sanctification vers le Christ ?

Ce personnage se trouve être roi de justice, roi de Jérusalem et sacrificateur du Très Haut et certainement roi associé dans la Jérusalem Céleste. Il serait donc une pierre vivante à suivre et à imiter. Un roi de cœur pour davantage aimer Jésus Christ Roi du Ciel.

« Le roi de Sodome alla à la rencontre d’Abram dans la vallée de Shavé (la vallée du Roi). Melchisédech, roi de Shalem, apporta du pain et du vin ; il était prêtre du Très Haut. Il prononça cette bénédiction : Béni soit Abram par le Dieu Très Haut qui créa le ciel et la terre et béni soit le Dieu Très Haut qui a livré tes ennemis entre tes mains. Et Abram lui donna la dîme de tout… Rien pour moi. » Gn 14, 17-24.

Melchisédech apporte le pain et le vin. Quelle annonce pour l’Eucharistie future instituée par le Christ lui-même !

Et Abram donne la dîme de tout en remerciement. Il donne tout pour recevoir l’alliance sacrée.

Et nous devons tout donner pour suivre le Christ et le remercier.

En offrant le pain, le vin, la bénédiction, Melchisédech annonce le Christ est la transmutation de la table ronde, celle des hommes, en table carrée celle de la Jérusalem Céleste :

(,

l’infini de Dieu ou le référent universel)

« Yahvé l’a juré et ne s’en dédira point : « Tu es prêtre à jamais selon l’ordre de Melchisédech. » Ps.110, 4

« Grand prêtre salué par Dieu pour l’éternité, du titre de grand prêtre selon l’ordre du roi Melchisédech. » Héb. 5, 6-11

 

Par le regard de l’innocence comme celui de l’enfant roi, tout
redeviendra clair, compréhensible dans l’attente du retour du Roi.

Conclusions

 

L’importance du désert dans le cheminement de l’homme dans sa foi et pour son retour à la Patrie du Père

« Vous êtes le sel. Mais si le sel perd sa saveur, avec quoi va-t-on le saler ? Il n’est plus bon à rien qu’à être jeté dehors, foulé aux pieds par les gens.» (Mt 5 13).

Aujourd’hui, qui ose porter l’étendard de la Foi ostensiblement? Au principe de l’égalité, de la fraternité et de l’égalité, il faut « faire » tiède, plaire à tout le monde.

Nous vivons un temps comme celui de saint Jean Baptiste, la Voix qui criait dans le désert. Mais qu’est-ce que le désert si ce n’est la partie de nous-mêmes à devoir traverser pour nous retrouver fécondé. Trop de sel va rendre le sol aride, un sel bien dosé apportera l’équilibre dans la foi. Faut-il rappeler ce qui arriva à la femme de Tobie qui n’écouta pas le conseil donné et qui se retournant pour voir Sodome en feu se retrouva changée en statue de sel : Genèse : « Debout, quittez ce lieu car Yahvé va détruire la ville 19 14… Sauve-toi, ne regarde pas derrière toi et ne t’arrête nulle part dans la plaine 19 17… Yahvé fit pleuvoir sur Sodome du souffre et du feu, il renversa ces villes et toute la plaine avec tous ses habitants des villes et la végétation du sol. Or la femme de Lot regarda en arrière et elle devint une colonne de sel. »19 23.

Après le temps du Déluge, celui de Noé, nous devons nous préparer au temps du Feu, par la Nouvelle Arche d’Alliance cette fois Apocalyptique et ce par la Vierge Marie.

Oui, en ces temps que nous vivons, il faut, comme l’écrit sainte Thérèse de Lisieux, « différentes familles d’âmes pour aimer les différentes perfections de Dieu ». Il n’est donc pas trop tard pour se réveiller.

En effet, « Si l’un sème l’autre moissonne » Jn.4,25.

Nous espérons pour le temps futur cette moisson de convertis. Car aujourd’hui, les eaux se font rares, les sources se tarissent, les rivières se vident, les glaciers reculent. Ainsi des rocs apparaissent, des fissures transpercent le globe terrestre. Les déserts avancent. Et hélas, les hommes tranquillement se disent : « Nous allons manquer d’eau ». Qu’attendent-ils pour rechercher la Source d’eau vive ! Alors ils contemplent avec Ezéchiel les ossements de l’humanité : « La main de l'Eternel fut sur moi, et l'Eternel me transporta en esprit, et me déposa dans le milieu d'une vallée remplie d'ossements. Il me fit passer auprès d'eux, tout autour; et voici, ils étaient fort nombreux, à la surface de la vallée, et ils étaient complètement secs. Il me dit : Fils de l'homme, ces os pourront-ils revivre ? Je répondis : Seigneur Eternel, tu le sais. Il me dit : Prophétise sur ces os, et dis-leur: Ossements desséchés, écoutez la parole de l'Eternel ! Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel, à ces os : Voici, je vais faire entrer en vous un esprit, et vous vivrez; Je vous donnerai des nerfs, je ferai croître sur vous de la chair, je vous couvrirai de peau, je mettrai en vous un esprit, et vous vivrez. Et vous saurez que je suis l'Eternel. Je prophétisai, selon l'ordre que j'avais reçu. Et comme je prophétisais, il y eut un bruit, et voici, il se fit un mouvement, et les os s'approchèrent les uns des autres. Je regardai, et voici, il leur vint des nerfs, la chair crût, et la peau les couvrit par-dessus; mais il n'y avait point en eux d'esprit. Il me dit : Prophétise, et parle à l'esprit ! Prophétise, fils de l'homme, et dis à l'esprit : Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel : Esprit, viens des quatre vents, souffle sur ces morts, et qu'ils revivent ! Je prophétisai, selon l'ordre qu'il m'avait donné. Et l'esprit entra en eux, et ils reprirent vie, et ils se tinrent sur leurs pieds : c'était une armée nombreuse, très nombreuse. » Ez.17,1-11.

Et comme tout est logique en Dieu, on comprend rapidement que tout est chaos et confusion dans l’objectif du malin. Si un seul élément posé par Dieu est déplacé de son alignement, le dérèglement de la mécanique divine se grippe.

Car l’avertissement de Dieu est sévère. Sommes-nous faits pour être tatoués comme des bêtes ?

Et Il dit: Ap. « Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu’à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. Ap 9:4 Il leur fut dit de ne point faire de mal à l’herbe de la terre, ni à aucune verdure, ni à aucun arbre, mais seulement aux hommes qui n’avaient pas le sceau de Dieu sur le front… Ap 14:9 Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d’une voix forte: Si quelqu’un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main sera puni. »

 

 

Annexe

La perfection de Dieu

Pourquoi ne pas prendre au vol l’interpellation actuelle portant sur la pyramide de Gizeh ? Pourquoi tout ce remue-ménage très médiatique autour d’une représentation visible et tangible d’une construction parfaite en ces temps troublés que nous vivons et où les excès architecturaux du monde moderne ramènent à un nouveau Babel ?

Dans un premier abord hélas, il faut pour que le regard de l’homme se pose, une construction visible, tangible et parfaite pour que ce dernier puisse accéder à l’invisible qui sous-tend toute architecture visible. Nous pensons que cette grande pyramide est un signe Divin contenant un alphabet de l'histoire humaine qu'il nous faut découvrir. Une construction pyramidale plantée là dans un décor de désert, celui de notre ignorance. Un monument qui défie les âges fait de pierre qui symbolise la vérité de l’origine de la Création. Mais elle symbolise également une vérité à la portée de la raison humaine, inscrite dans l'histoire de l'homme qui se divinise en Dieu son créateur après sa chute adamique, celle du jardin d’Eden.

Aujourd’hui il nous faut rationnellement oeuvrer pour ce retour à Dieu dans l’unique condition de retrouver la pierre d'angle.

Cette pyramide de Gizeh au cœur de tant de questionnement à elle aussi été décapitée en son sommet, un sommet appelé le pyramidion qui lui-même vit son original remplacé par une copie.

Nous sommes en total symbolisme de la forme. Evincer le vrai pyramidion pour le remplacer par une autre représentation nous conforte sur la mise en garde de Dieu : « Jésus ajouta : N’avez-vous jamais lu dans les Ecritures : la pierre qu’ont rejeté les maçons est devenue la pierre d’angle ; c’est l’œuvre du Seigneur, et c’est merveille à nos yeux. C’est pourquoi je vous le dis, le Royaume de Dieu vous sera ôté, et sera donné à un peuple  qui en produira les fruits. Celui qui trébuchera sur cette pierre s’y brisera, et celui sur qui elle tombera, en sera écrasé. » Mt.21, 12

Oui, les constructions de l’homme s’effondreront mais seule l’œuvre de Dieu traversera les âges.

Quelle symbolique ! Une décapitation de pierre qui rappelle celle de saint Jean Baptiste et celle des martyrs de notre temps. Et puis, il faut pour ce monde moderne, décapiter la Mémoire de Jésus Christ !

Saint Pierre nous illustre sur ce point: « Approchez-vous du Christ, la pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie, précieuse aux yeux de Dieu. Vous-mêmes comme pierres vivantes, prêtez-vous à l’édification d’un édifice spirituel, pour un sacerdoce saint, en vue d’offrir des sacrifices spirituels agréables à Dieu par Jésus Christ. Car il y a dans l’Ecriture : Voici que je pose en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse, et celui qui se confie en elle ne sera pas confondu. »1 P 25.

Aujourd’hui le Christ semble étêté dans sa dimension. A nous de le restaurer dans sa Royauté.

Aujourd’hui, toutes les formes de communications sont développées en parallèles, avec une origine électrique et sous un œil artificiel, robot invisible. Elles se sont coupées de la source qui est en nous. Nous dépendons désormais, si nous n’y faisons pas attention, d’une source artificielle. Et que dire de la finalité de nos communications internet. A qui sont-elles destinées ?

L’émetteur n’est-il pas Dieu en nous et ne sommes-nous pas l’élément intermédiaire de la transmission familiale, sociale pour le récepteur divin ? Le lien qui nous relie à la fonction de la vie et à son origine est constitué ce cellules souches. Tout notre génome est inscrit en ce lien ! Il constitue l’élément primordial intact de notre relais divin dans la matrice appelée terre.

Pour sauver les hommes de ce temps il faudrait comme un électrochoc pour relancer l’ordinateur vital. Comme pour rebouter un système informatique. Un rééquilibrage de la source énergétique. Pourquoi ne pas faire confiance à notre code identitaire qui nous nous a été donné par Dieu : « Pierre blanche qui sera donnée au vainqueur et sur laquelle est écrit un nom que nul ne connaît que celui qui la reçoit » Ap. 2, 17

Ce code est à l’image de notre identifiant de gsm. Comment dix personnes réunies dans une même pièce avec leur propre portable peuvent-elles recevoir au même instant un appel venant d’un correspondant différent ? Comment ne pas reconnaître que Dieu peut fonctionner de la même façon pour nous ? Notre code de liaison divine existe par l’intermédiaire même de notre Ange Gardien et de notre génome sacré.

Un exemple existe en puissance exponentielle à travers la manifestation des sylphes, flashs lumineux qui peuvent monter jusqu’à cent kilomètres au-dessus de zones orageuses. Ces sylphes qui énergisent  la haute atmosphère sont très soudain et correspondent à une radiation cosmique arrachant des électrons à la surface des hauts nuages. Le faisceau d’électrons ainsi créé agit sur les molécules d’azote de l’atmosphère avec émissions de rayons X et gamma. Nous sommes ici face à une manifestation puissante de la force énergétique de la création.

« Attirez-moi, et nous courrons à l’odeur de vos parfums » Ct. 1, 3

Oui sainte Thérèse a bien compris ce que représentait « l’exil de la terre ». Elle a décrit dans ses Manuscrits autobiographique combien l’invisible se cachait dans le visible.

A nous de devenir et de nous affirmer comme des chevaliers priants au service du Roi du Ciel.

A nous de témoigner d’une conscience active, celle de la présence de Dieu en chacun de nous. Quittons ainsi notre habit d’orgueil pour revêtir celui de l’humilité. Car si l’homme a besoin de la terre pour survivre physiquement cette dernière n’a pas besoin de l’homme pour entretenir sa mémoire originelle.

C’est Dieu, Maître de l’Univers et Maître de l’Histoire qui choisit toute chose !

Et que Son Fils, par la grâce de l’Esprit Saint règne en nos cœurs !

« Je Suis le chemin, la Vérité et la vie… et de toute éternité Je Suis »

Ô Immaculée Vierge Mère, Splendeur Immortelle des béatitudes de Dieu, Lumière et Sagesse des pierres vivantes de Dieu. Ô Arche et refuge des pêcheurs que je devienne comme vous un foyer brûlant d’amour. Oui, moi …, je m’offre sans réserve, comme petite brique pour construire votre Jérusalem Céleste. Ô arche apocalyptique, Marie Notre Mère, Secours des Chrétiens, priez pour nous. Amen.

Et vous saint Joseph, Patron de la bonne mort, priez pour nous.

 

 

 

 

 

 

 

À André, chevalier du Secret

À Charles, chevalier du Secret

 

                                                    Terminé pour le 19 mars en la fête de saint Joseph

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